Orfeo #1
Soudain, au creux de l’été, sous la croûte tiède du chemin, j’entendis crépiter les veines de l’amour
Orfeo #2
Au balcon de tes yeux j’ai pris la route des oasis
Orfeo #3
Plus loin, au seuil des vents du Sud, sur les galets encore chauds d’un été qui ne ferait plus murir les blés ni briller les juments, les « hommes d’hier » chevauchant les « hommes d’avant » avaient repris leur croisière
Orfeo #4
« Cantique à la candeur et l’infinie beauté du monde ».
Orfeo#5
Il existe une fatalité qui ne m’inspire pas.
Une errance cognée dans la mugissante solitude de l’âme